Voici une lettre intrigante que j'ai retrouvée au fond de mes affaires il y a bien longtemps dont je ne connais ni l'expéditeur ni le destinataire, je l'es retrouvée dans un drôle de tissus, coincée dans un rocher :
Et dire que le paradis nous l’avions retrouvé via les entrailles de la terre…
A Celën Chaös où à Plör Fragbën… Ici où nous, nous sommes, où je vous écris actuellement… je sens mes sens s’enivrer de l’Atmosphère délicate et fraiche, la lumière qu’émet ce paysage éblouit nos yeux… un amas brumeux dissimule nos pieds et leurs traces…
Peut-être, avec mon allié, nous finirons par disparaitre dans La pureté de ce paysage qui nous absorbe un peu plus chaque jour… s’ils subsistent là-bas…
Quand nous levâmes notre tête nous pouvions admirer des chutes d’eau translucide tombant des cieux cristallins et former des cumulus en s’évadant au grès du vent…. Au loin j’aperçois un lobe lumineux ressemblant à notre soleil… En avançant nous découvrons toujours de nouvelles plantes étonnantes qui déversent leurs spore dans les environs.
Le paysage change radicalement au rythme de nos pas et des battements de notre cœur. Tous les éléments semblent composés de lumière ou d’un organisme vivant…
Nous entendons et nous nous laissons transporter par un souffle vers les entrailles d’un Cœur pur… solide ou volatile...
Ces paysages sont tant indescriptibles, extraordinaires et éthériques qu’ils semblent presque illusoires et nous rendent fous. Nous ne pouvons y revenir indemnes, si nous revenons… un jour….
Anonyme
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