La fleur d’Alimb (Alimbis Florus)

Dorée, éclatante et imposante, cette fleur illumine les légendes trialistes comme la toute première à avoir éclot dans le monde.

La fleur d’Alimb, ou « Alimbis Florus » légendaire vit dans une forêt dangereuse au pied d’un arbre sacré, pouvant s'élever à la hauteur faramineuse de 20 mètres.

Mais redescendons sur terre... 

La fleur reconnue doit son nom par sa similarité à la « légendaire » mais cette dernière n'a jamais été retrouvée... Parce que ça arrange quelques-uns.
La populaire fait parler d'elle par son utilisation dans la spiritualité trialiste. Elle se retrouve dans des infusions, fermenté pour produire de l'alcool... 

Son pistil est nocif si on ne le manie pas avec précaution par la présence d'une substance qui pénètre dans la peau et affecte la circulation. Lors de la cueillette des fleurs, les spécialistes enlèvent le pistil avec des gants.
Elle est employée discrètement dans la médecine pour ces nombreuses vertus dont celle de rétablir l'équilibre hypersensible des nierotiques.

Des études élaborés par le laboratoire nierologique de Samarobriva lui confère même des propriétés antioxydantes et anti-cancérigènes très puissantes qui expliqueraient la longévité inexpliquée des trialistes comparé au reste de la population.

La légende évoque aussi le pouvoir de rallonger la vie de quiconque se nourrirait de son essence et le syndrome nierotique master ou alphusien est pour les survivants le passage pour être un vaillant Vëld.

Vëldisme et Alimbis

Une fois le syndrome avéré et dans la discrétion totale, on conseille l'individu alphusien de se lier à une fleur d'Alimb lors d'un rituel mit en place par les sacrés shoraä ce qui interroge toujours l'unique bénéficiaire. Pourquoi la fleur d'Alimb , qu'aurai t'elle de plus que les autres ? Ce qu'il ignore, c'est qu'il n'a pas affaire a celle qu'il croit être mais bien une autre, l'espèce ancestrale dissimulée qui lui est à ce jour divulgué par une grosse graine, sorte de fève tonka aux nuances colorées d'essence. Bien qu'attirante à priori, ce n'est que lorsque on lui demandera d'y immaculer quelques centilitres de son sang que viendront grandir les questions titillantes. 
La graine dans son bain de sang va pouvoir germer très rapidement et se développera  dans une réserve cloîtrée au sein de l'ordre. Ils se retiendront de révéler les particularités de la fleur même si il devra toujours bien la nourrir, l'arroser.

Lors de la phase finale de l'élaboration nierotique du cerveau, on l'amènerai dénudé à elle et les racines s'animeraient en entrelaçant ses membres puis le capture dans le limbe que forme la partie fournie de pétales ou bien des feuilles à l'allure de pièges. La plante va rejeter une substance visqueuse qui enveloppera et le plongera dans un sommeil végétatif prenant fin quelques jours après. Durant cette étape, la fleur lui transfère des données qui lui permettront d’acquérir ses pouvoirs mais s'activeront à la seule condition que l'on ne cesse pas de prendre soin d'elle.
Si il la néglige un certain temps, ses capacités seront amoindries même si elle est largement capable de se débrouiller seule. L'individu concerné pourrait même tomber malade, faute de ce lien nécéssaire romput trop rapidement.  Cela dit, si la fleur périt, elle peut être remplacée bien que la patience est de mise afin de retrouver ses pouvoirs. 
Un tunnel est creusé pour retranscrire dans un sanctuaire l'essence de l'individu. Ce qui fait que la prochaine peut retrouver la sienne. Mais la fragilité de cette fleur est réelle et au delà du lien que se forge la plante et le Vëld est l'équilibre. Si ces plantes disparaissent de la surface de la terre, Le vëld perds son pouvoir et la capacité de protéger la population albänique, la seule qui sera capable d'assurer sa propre survie à un changement climatique. 
 Cette loi a incité durant des millénaires à rechercher des moyens afin de pouvoir les garder sain et sauf... Que ce soit en investissant dans le progrès technologique ou les services secrets (ce qui entre-autre correspond aux sacrés shoraäs).